Rencontre avec votre écrivain biographe

Rêveuse, voyageuse, passionnée et un poil cartésienne : je suis tout cela à la fois ! Je mets toute ma curiosité au service des livres que j’écris. Une curiosité affûtée au fil du temps, des expériences… et des rencontres, notamment avec moi-même !

J’étais, au fond, destinée à exercer un métier de création. Enfant comme adolescente, j’aimais passionnément lire. Tard le soir, je dévorais des ouvrages à la lampe de poche dans le secret de ma chambre. Je pratiquais mon écriture dans des cahiers, des ébauches de roman, des journaux de bord. Je puisais l’inspiration partout et adorais capter les détails que personne ne voyait !

A propos de Karine, biographe

Avec mes études, scientifiques puis linguistiques et finalement commerciales, m’est venu le goût de l’ailleurs. Au fil de ces enrichissantes années, j’ai posé mes valises à Toulouse, Paris, Stuttgart et Barcelone. J’aime à penser que mon parcours très éclectique m’a ouvert l’esprit. Eprise de destinations qui surprennent et nous confrontent à d’autres façons de penser, j’ai fait le plein d’émotions en Bolivie, en Norvège ou encore au Japon.

Je n’ai jamais renoncé à l’idée de vivre mon quotidien avec passion et enthousiasme ! Salariée du web pendant plusieurs années, j’ai finalement cédé au besoin pressant de renouer avec l’écriture, avec moi-même en somme ! Grande lectrice d’ouvrages à teneur spirituelle et personnelle (Matthieu Ricard, Don Miguel Ruiz, Christophe André…), j’ai acquis la conviction que s’écouter et se faire confiance est le meilleur moyen de vivre une existence qui compte.

Devenue rédactrice web indépendante depuis 2017, j’ai finalement choisi la biographie pour poser mes valises. Un métier qui me permet d’offrir ce que j’ai de plus précieux : une oreille attentive, un vrai souci de l’autre, mais aussi une plume sensible et juste.

Cette plume, je la mets au service de votre récit de vie, souvenirs de jeunesse ou de carrière, ou encore de votre carnet de voyage pour en faire un ouvrage unique et beau. Car chaque vie est une aventure et mérite pleinement d’être transmise !

Je serai heureuse de vous rencontrer pour concrétiser un projet qui vous est cher : soyez assuré que je le traiterai avec le même soin que si c’était le mien.

ME CONTACTER

Merci à Karine, qui a écrit le récit d’une période particulière de ma vie avec beaucoup de sensibilité. J’ai apprécié son écoute et sa compréhension. Elle a même mis des mots sur ce que je n’arrivais pas toujours à dire moi-même…

Alexandre, 42 ans, Lyon, Insérer votre contenu Ici

Karine a su apporter de l’émotion là ou il fallait et du dynamisme pour rendre réalistes et vivants mes récits de voyages. Je recommande sa collaboration à tous ceux qui veulent s’essayer dans cet exercice pas si facile que ça.

Gérard, 66 ans, Caluire

Extraits

Avant de s’engager, on a souvent envie de savoir à quoi ressemble la plume de notre futur biographe, et c’est bien légitime ! Découvrez ici, ou dans la rubrique Extraits, des morceaux choisis de mes écrits.

SUR LES CHEMINS DU PACIFIQUE
Récit de voyage

Au cœur d’un espace immense où la nature a tous les droits, les émotions sont démultipliées. L’émerveillement comme la peur prennent des proportions inédites.
Je me souviens avec beaucoup d’intensité de ma première semaine d’itinérance. Mon camarade de route ayant des problèmes de cheville, j’avais pris les devants. Je cheminais seule en direction de la Sierra Nevada.

SOUVENIRS DU BALNY
Récit de carrière

Le jeudi 19 avril, veille de mon embarquement, je prends un train de nuit pour Toulon. A l’époque, on rencontre sur ce type de trajet beaucoup de militaires en route pour rejoindre leur unité. L’ambiance est très animée et ce jour-là, le train est plein à craquer, au point que j’ai beaucoup de mal à trouver un endroit pour m’installer. Peu importe : je passe la nuit dans le soufflet entre deux wagons. La vie de militaire vous apprend que l’on peut dormir à peu près n’importe où.

CARNETS DU JAPON
Récit de voyage

Le quartier est vivant, sans histoires, de ceux où il est simple de flâner. Rapidement, Tokyo nous apparaît comme une ville accessible, loin de la “capitale gratte-ciels” que nous imaginions. Les bâtiments sont bas, les façades des commerces bucoliques. L’ancien côtoie le nouveau, le bitume cohabite avec la verdure. Les restaurants du quartier proposent presque tous des plats à emporter. Beaucoup affichent en vitrine des bols remplis de nouilles en plastique, amusante réplique de ce que l’on peut commander.